Qu’est-ce que l’anxiété ?
Tout d’abord, il faut savoir que l’anxiété n’est pas une maladie à part entière, mais une émotion qui peut conduire à l’apparition de certaines maladies. L’anxiété regroupe différentes entités cliniques, qui sont au nombre de six :
- Le trouble anxieux généralisé ( TAG ) ;
- Le trouble panique ;
- Le trouble d’anxiété sociale ;
- La phobie ;
- Le trouble obsessionnel compulsif ;
- L’état de stress post-traumatique.
Toutes ces entités cliniques varient d’un patient à un autre et il est important d’en connaître l’origine afin de combattre l’anxiété liée à ce trouble. Dans la majorité des cas, l’anxiété, ou du moins, les causes de cette anxiété surviennent pendant l’enfance et restent présentes comme un traumatisme.
L’anxiété peut être à l’origine de plusieurs conséquences sur la santé de l’individu, selon la fréquence d’apparition, le quotidien de la personne, et les facteurs de risques :
- Accélération du rythme cardiaque ;
- Une respiration difficile ;
- Sueurs ;
- Tremblements ;
- Étourdissement ;
- Muscles tendus.
Les conséquences ne sont pas que physiques, mais sont également mentales, puisque l’individu pourra ressentir de l’inquiétude, de l’obsession, une crainte constante et bien d’autres.
Il est également très important de différencier deux notions d’anxiété, qui sont la prévalence sur un an et la prévalence sur la vie entière. La prévalence est une mesure de l’état de santé d’une certaine population. Cette mesure permet alors d’édifier des statistiques fiables et valables pour la recherche scientifique et d'apporter une meilleure compréhension de ce trouble.
Selon la Haute Autorité de Santé, dans une population de 18 à 65 ans, la prévalence sur un an d’anxiété correspond à 15 % et la prévalence sur la vie entière est de 21 %. Cela concerne l'anxiété en général, mais il faut savoir que chaque entité de ce trouble possède sa propre statistique. Nous allons voir la prévalence et la définition de chaque trouble dans la partie qui suit.
Trouble anxieux généralisé
Le trouble anxieux généralisé est un trouble très handicapant qui touche 2,1 % des Français sur une prévalence d’un an et 6 % pour une prévalence sur la vie entière. Ce trouble est considéré comme "exagéré" car l’individu atteint va alors s’inquiéter d’une manière peu recommandée et peu normale pour tout et n’importe quoi.
Par exemple, l’individu va s'inquiéter de ses finances, de ses relations, de son futur et de biens d’autres problèmes communs à tous, mais d’une manière disproportionnée. Cela aura pour conséquences d’handicaper la vie de l’individu et causer des soucis de santé sur le long terme.
Le trouble obsessionnel compulsif
Autrement appelé “TOC”, ce trouble se caractérise par des rituels à répétitions, comme vérifier plusieurs fois si l’on a bien fermé une porte, effectuer plusieurs fois par jours le ménage ou le nettoyage, compter ses pas ou plus étonnant encore, compter ces mots.
Mais l’individu peut également se poser des questions à outrance comme “suis-je untel ?” ou autre, et cela peut causer de gros soucis de questionnement et de perception de la réalité car ils vivent dans un monde rempli d’incertitudes.
Lorsque l’on dit que les personnes souffrantes de TOC, vivent dans un monde rempli d’incertitudes, cela signifie que la cause de leurs troubles n’est autre qu’un questionnement problématique ou une idée causant cette anxiété. Par exemple, la personne peut avoir une peur terrible d’attraper telle ou telle maladie, ainsi que commettre un acte dangereux pour la société, alors qu’aucune raison ne la pousse à effectuer cet acte. C’est pour cela qu’elles ont des TOC, car cela les aide à se distraire de ces idées et de limiter l’anxiété ressentie.
En France, la prévalence sur un an et sur la vie entière est d’environ 0,7 %.
Le trouble panique
La prévalence de ce trouble en France est de 1,2 % sur un an et de 3 % sur une vie entière. Ce trouble est assez caractéristique de par son effet de surprise, puisqu’il apparaît sans aucunes raisons particulières. Dès lors, le pic d’anxiété sera atteint en quelques minutes avant de se dissiper en une heure environ.
Cela cause un réel handicap envers les personnes atteintes, car elles ne peuvent pas prévenir cette crise de panique puisqu’elle peut survenir à tous moments en tous lieux, ce qui peut empêcher l’épanouissement social de l’individu.
La phobie
La phobie est présente en chacun de nous, mais il existe deux grands types de phobies. La première n’est autre que la phobie qui se caractérise par la vision d’une matière, d’un animal ou d’un événement qui nous fait peur. La prévalence de la phobie en général atteint 4,7% sur un an et 11,2 % sur une vie entière. La plus courante, vous la connaissez et vous en êtes sûrement victimes, c’est l’agoraphobie qui contient une prévalence de 0,6 % sur un an et de 1,2 % sur une vie entière, bien qu’elle peut atteindre 7 % à certains moments.
La seconde phobie est la phobie sociale et elle se déclenche lorsque l’on doit rencontrer de nouvelles personnes, assister à un événement public, ou à un repas avec beaucoup de personnes. La prévalence de cette phobie est de 1,7 % sur un an et de 4,7 % sur la vie entière.
L’état de stress post-traumatique
Ce trouble se caractérise à la suite d’un épisode physique ou psychique violent et souvent bref, qui ne part pas avec le temps. Ce trouble est très handicapant pour les personnes en souffrances car elles peuvent revoir en tête les images de l’évènement responsable lors de situations banales, comme en voiture si la personne a subi un accident de la route.
Une personne atteinte de ce trouble va alors avoir du mal à dormir, avoir des crises d'angoisse, avoir le sentiment de ne plus vouloir vivre. Parfois, elle peut se réfugier dans l’alcool ou la drogue. Un suivi psychologique est alors indispensable.
La prévalence en France est de 2,2 % sur un an et de 3,9 % sur une vie entière.
Pour la plupart des cas, ces troubles surviennent lors d’évènements particuliers ou lors de traumatismes durant l’enfance, et il est important de bien comprendre le fonctionnement, la fréquence d’apparition selon les troubles et si c’est possible. Nous allons voir ensemble les différentes causes de ces troubles anxieux et quels en sont les signes.
Les signes de l’anxiété
Selon les cas, les signes seront différents d’une personne à l’autre, mais certains signes sont identiques pour tous et démontrent qu’une anxiété est bien présente et ce, depuis des années. Par exemple, l’anxiété, ou du moins, ce que vous pensez en être la cause, va occuper toutes vos pensées durant la crise.
Ensuite, et selon les personnes, un sentiment de peur et de grande inquiétude va se déclarer pour parcourir tout le corps. Les victimes de ces crises peuvent avoir l’impression de ne plus être elles-mêmes et semblent très inquiète à l’égard d’une catastrophe qui semble imminente. S’en suit des problèmes pour s’intégrer socialement car la personne n’est pas calme et est très irritable, ce qui rend les dialogues quasi-impossibles. Dans certains cas où la crise dure plusieurs heures ou plusieurs jours, des troubles du sommeil se déclarent, ce qui accentue encore plus la difficulté à s’intégrer socialement car le manque de sommeil rend également plus irritable. En additionnant cela à la crise et ses conséquences, l’individu est donc très handicapé dans son quotidien.
Mais dans le corps de ces personnes, lorsqu’elles sont dans un processus anxieux, celui-ci se prépare à affronter un danger et met donc tous ses sens en alerte. L’adrénaline commence à monter et les plusieurs signes physiques peuvent apparaître :
- Des tremblements ;
- Une respiration coupée, un souffle court ;
- Une bouche sèche ;
- Une accélération du rythme cardiaque, des palpitations ;
- Des nausées, des diarrhées peuvent apparaître ;
- Des maux de têtes, des vertiges ;
- Sensation de mains moites avec apparition de sueur ;
- Une sensation de boule dans la gorge ;
- Sensation de faiblesse généralisée.
Ce sont les principaux signes physiques de troubles anxieux, mais nous pouvons retrouver des troubles psychiques, comme des pertes de mémoire, des difficultés à se concentrer et à parler. Bien évidemment, tous ces signaux varient d’une personne à une autre et il est important de tenir un agenda, comme pour les migraineux, afin de repérer tous les signaux annonciateurs ou conséquentiels.
Les crises d’anxiété et le nombre de personnes atteintes peuvent varier d’un pays à un autre. Par exemple, dans un pays où la vie n’est pas difficile et où peu de problèmes sont rencontrés, l’anxiété ne sera pas aussi développée que dans un pays où la vie est très compliquée. Aux Etats-Unis, environ 18 % de la population adulte a subi un état d’anxiété dans l’année.
Mais quelles sont les causes de ces troubles anxieux ? Nous allons voir ceci ensemble.
Les causes de l’anxiété
Il faut savoir que les causes de ces troubles anxieux sont très variables d’une personne à une autre. Il est donc primordial de bien comprendre avec une aide ou tout seul, quelles sont les causes de ces troubles afin de pouvoir les traiter et améliorer le quotidien des personnes en souffrance.
Tout d’abord, l’anxiété n’est pas liée à une seule cause, mais à plusieurs facteurs environnementaux, psychologiques ou biologiques. Chaque personne possède sa propre histoire et son propre vécu en fonction de son enfance, de son éducation, ou de ses choix de vie. Par cela, il faut comprendre que la majorité des facteurs de risques sont liés à certaines situations ou évènements subis, entendus, ou même exercés.
Parmi ces facteurs de risques, nous pouvons retrouver des événements dans l’environnement professionnel, comme un licenciement abusif, ou de la discrimination de la part des collègues, ou du patron. Les événements affectifs sont également des facteurs de risques si un traumatisme y est subis, ainsi que dans le milieu familial, où des événements plus chaotiques peuvent être subis, entendus ou exercés. Ces événements provoquent beaucoup de stress, ce qui accentue l’anxiété.
Mais l’anxiété ne s’arrête pas à ces facteurs de risques puisque certaines maladies peuvent en être la cause, ce que l’on appelle, l'anxiété secondaire. Les maladies responsables sont généralement les hyperthyroïdies, la dépression, les psychoses ou les troubles bipolaires.
Mais dans le cerveau, un autre élément entre en jeu. Les chercheurs savent que des facteurs biologiques et un terrain génétique seraient responsables du déséquilibre des neuromédiateurs, présents dans le cerveau et qui servent à l’apport d’informations. Ce qui signifie que si une personne possède quelqu’un de sa famille qui souffre d’anxiété, alors elle aurait de grandes chances d’en souffrir elle aussi, autrement dit, l’anxiété peut-être héréditaire.
Lorsque l’anxiété est trop importante, la personne peut souffrir de différents symptômes ou de changements de vie, comme des troubles du sommeil, une consommation abusive d’alcool et de drogue pour se libérer de cet entrain. Mais des risques sur le long terme sont également possibles comme une hypertension artérielle, une augmentation des risques cardiaques, de cancer ou de diabète.
Mais alors, comment lutter contre l’anxiété ? Outre les médicaments spécifiques comportant plusieurs effets secondaires, voir quelqu’un peut aider, mais une autre solution existe. Cette solution s'appelle le CBD, et est très prometteuse dans cette lutte contre soi-même. Nous allons voir ensemble son action sur l’anxiété et l’amélioration du quotidien liée à sa consommation.
Comment le CBD peut-il combattre l’anxiété ?
Certains médicaments sont actuellement disponibles pour les personnes souffrants d’anxiété, mais ils comportent parfois des effets secondaires très invalidants. Certaines personnes peuvent alors se tourner vers des méthodes plus douces et sans effets secondaires ou très peu d’effets secondaires.
Le CBD peut aider ces personnes en fonction des causes de l’anxiété. Bien évidemment, il ne résoudra pas la véritable raison de votre anxiété, qui est généralement liée à l’enfance et bien souvent due à un traumatisme. Mais il va permettre de ne pas ressentir les effets de l’anxiété et d’empêcher votre corps et votre cerveau de se retrouver en crise de panique.
Il est connu depuis des années que le CBD permet de réduire l’anxiété et plusieurs études sont encore en cours, mais le fonctionnement a été découvert depuis peu.
Lorsqu’une personne consomme du CBD, celui-ci va alors interagir avec notre système endocannabinoïde naturel et se lier aux récepteurs CB1 et CB2. Mais lorsque la molécule ira se fixer aux récepteurs CB1, celle-ci va interagir avec les récepteurs 5-HT1A, qui n’est autre qu’un sous-type de récepteur de la sérotonine. Cette hormone permet de jouer un rôle majeur dans l’humeur et son changement, l’anxiété, et est considérée comme l’hormone du bonheur dans le langage courant.
Cette hormone est produite à 95 % dans l’intestin et se dirige ensuite vers le cerveau en finissant sa construction, mais elle se fait “réabsorbée” une fois son action finie, ce qui empêche alors le sujet d’éprouver la joie obtenue avant.
Dans une étude de 2016, une équipe de chercheurs espagnol a mis au point un essai sur des rats afin de démontrer l’action du CBD contre l’anxiété. Cette étude a permis de démontrer que le CBD jouait un rôle bloquant envers la réabsorption de la sérotonine, ce qui signifie que cette hormone dure plus longtemps et ne cesse d’effectuer son action positive durant ce laps de temps. La conclusion final de l’étude est la suivante :
“Nos résultats indiquent que le CBD pourrait représenter un nouveau médicament antidépresseur rapide, via l'amélioration de la signalisation corticale sérotoninergique et glutamate via un mécanisme dépendant du récepteur 5-HT1A.”
Mais ce n’est pas tout, puisque d’autres études plus anciennes ont également permis de démontrer cette action bénéfique. En 2011, une équipe de chercheurs brésilien a administré du CBD à 24 personnes souffrant d’anxiété sociale. L’étude a permis de montrer qu’un grand nombre de personnes ont eu une amélioration de leur état et de leur trouble après l’administration du CBD.
Une autre étude, réalisée en 2013 au Royaume-Uni et ayant eu lieu sur 48 volontaires, a permis de montrer que le CBD pourrait aider à surmonter ces peurs et réduire, voire éteindre, l’anxiété liée à ces peurs.
Mais il existe d'autres interactions du CDB envers l’anxiété que nous allons voir ensemble.
Le CBD et l’hippocampe
Non, nous ne parlons pas de l’animal marin, mais bien d’une région du cerveau qui joue un rôle majeur dans la mémoire et la navigation spatiale ( se repérer dans l’espace, se déplacer… ). Chez les personnes souffrant d’anxiété et de stress quotidien, des études ont été menées et ont permis de démontrer que ces personnes possédaient un hippocampe plus petit que la normale.
Suite à cela, il a été compris que l’anxiété pouvait diminuer avec la régénérescence des neurones dans l’hippocampe. En comparaison, une étude sur des rongeurs a démontré que l’utilisation continue du CBD sur le long terme permettait de régénérer plus rapidement les neurones.
Cette étude démontre que le comportement serait similaire chez les humains qui consomment du CBD sur du long terme. Cela pourrait améliorer significativement leur quotidien et leur perception de la vie.
Le CBD et les troubles paniques
Nous avons tous été confronté dans notre vie à une situation devant laquelle nous paniquons et nous ne savons pas quoi faire, ni comment réagir. Dans la nature, cette situation arrive tous les jours envers les proies et leurs prédateurs, mais l’humain peut également être confronté à cette situation.
Des chercheurs se sont penchés sur cette question et ont alors étudié des animaux qui étaient mis dans une situation où ils ressentiraient ce trouble panique. Par exemple, des rongeurs ont été confrontés à leurs prédateurs et le résultat fut naturel, puisqu’ils ont ressentis le trouble panique et toutes les complications engendrées par ce trouble.
Une fois qu’ils ont reçu du CBD, les animaux ont repassé des tests et cette fois-ci, le trouble n’était plus présent et ils paraissaient également plus détendus, comme s’ils ne se rendaient pas compte du danger, alors que c’était le cas.
Cette étude est très intéressante car elle permet de démontrer que le CBD peut combattre l’anxiété et limiter la sensation de danger.
Pourquoi le CBD et pas le THC ?
Il est connu que le CBD et le THC sont les deux molécules principales du cannabis et qu’elles sont particulièrement différentes sur la santé. Contenant des propriétés moléculaires quasi-identiques, elles ne sont pourtant pas les mêmes et le CBD pourrait même lutter contre le THC et ses effets.
Le CBD n’est pas psychotrope, contrairement au THC qui provoque des effets “high” envers le consommateur. Lors de la consommation de cannabis, le CBD et le THC vont se lier aux différents récepteurs du système endocannabinoïde qui sont présents dans tout le corps et ainsi, ces molécules pourront effectuer leurs actions.
Si l’on ne prend pas en compte le THC lors de études citées plus haut, c’est pour une raison toute simple, car cette molécule peut provoquer des périodes d’anxiétés lors de sa consommation. En effet, les sensations procurées par celle-ci peuvent conduire le consommateur dans une crise d’anxiété et de dépression, notamment lors d’un bad trip.
Le CBD est également connu pour limiter les effets du THC sur notre santé en combattant celui-ci au sein de notre corps. Cela permet de conclure que le CBD est la molécule la plus intéressante des deux, même si dans certains pays le taux en THC n’est pas à 0,3 % mais à 1 % voire plus car à petite dose, il semble porter des effets bénéfiques sur la santé. Dans le cannabis récréatif, le taux de THC dépasse de loin les 10 % selon certaines fleurs ou résines.
Comment trouver la dose de CBD adéquate ?
Il est important de savoir que chaque personne va réagir différemment lors de l'admission d’un produit à base de CBD. Bien que cette molécule ne présente aucun effet secondaire, il est très important d’en parler à un médecin avant d’en consommer afin de discuter avec lui de la meilleure solution adaptée à votre santé et parfois même, le mode de consommation.
Il est également possible que lorsque vous avez consommé du CBD, vous ressentez de la fatigue, ou des nausées et vertiges. Bien que ces effets secondaires soient rares, ils ne sont pas à exclure, mais rassurez-vous, il vous sera impossible de faire une surdose de CBD.
Pour pouvoir doser le CBD afin d’en ressentir des effets positifs et de profiter d’un meilleur quotidien, il existe différentes solutions et plusieurs expériences à effectuer chez soi.
Consommer du CBD à faible dose
Ce mode de consommation pourrait être utilisé selon votre anxiété, à savoir si elle est passagère, ou si elle se produit lorsque vous êtes exposés face à la situation qui provoque cette anxiété.
Ainsi, votre consommation sera occasionnelle et non quotidienne, ce qui aura pour conséquence de changer votre mode de consommation. En effet, si vous optez pour cette option, vous pourrez alors consommer des fleurs de CBD en infusion, ou vapoter du CBD grâce aux e-liquides disponibles dans notre boutique.
Cela ne sert à rien de consommer beaucoup de CBD lors de tel ou tel événement, car il suffit en moyenne de 25mg de CBD pour pouvoir en ressentir tous les effets bénéfiques.
Consommer du CBD à moyenne dose
Si vos crises d'anxiété se révèlent être plus fréquentes, comme les TOC ou les crises de panique qui se déclenchent avec ou sans facteurs, vous devrez alors consommer plus de CBD et donc, plus régulièrement.
Cela aura pour conséquence de changer votre mode de consommation et votre fréquence de consommation. Par exemple, vous pourrez opter pour de l’huile de CBD en prenant 2 gouttes, trois fois par jour, en utilisant la méthode sublingual. C’est-à-dire que vous placez vos gouttes sous la langue et que vous attendez 30 à 90 secondes avant d’avaler. Cette méthode permet au CBD de se projeter dans les muqueuses et donc, directement dans le sang.
Il est possible de consommer du CBD en e-liquids ou en infusion, mais il faudra bien évidemment, augmenter la fréquence de consommation et le pourcentage de CBD présent dans le produit.
Consommer du CBD à dose élevée
Si vos troubles anxieux sont très présents au quotidien et se déclenchent également tous les jours, vous pourrez alors choisir différents modes de consommation afin de subvenir à vos besoins. Il est important de rappeler que dans la plupart des cas, 25 mg de CBD quotidien peuvent suffire pour soulager les maux et améliorer votre quotidien.
Vous pourrez alors consommer du CBD avec les pourcentages les plus forts présents dans notre boutique, comme l’huile de CBD à 30 %. Cependant, plus le pourcentage de CBD est fort, moins il ne sera nécessaire d’en consommer !
Pour une huile à 30 %, il sera possible d’en consommer qu’une seule fois par jour afin de ne pas ressentir de la fatigue ou des vertiges à cause d’une consommation trop grande.
Un dosage en fonction de votre poids et âge
Il existe une astuce qui permet de vous rendre la vie plus facile afin de bien doser votre consommation de CBD. Pour cela, il faut savoir quel est votre âge et votre poids et surtout quelle est l’utilisation voulue du CBD par vous-même.
Comme dit plus haut, une moyenne de 25 mg de CBD est généralement nécessaire pour pouvoir combler les maux et ne plus ressentir des symptômes d’angoisse ou d’anxiété. Cela peut varier selon vos envies, mais par exemple, pour une huile à 5 % de CBD, vous pourrez consommer deux gouttes de CBD trois fois par jour et de voir par la suite, au bout de quelques jours, si ce dosage vous convient.
Si cela est trop fort, vous pourrez alors enlever une goutte à chaque fois que vous en consommez et si ce n’est pas suffisant, rajoutez une goutte.
Le CBD, un atout majeur
Outre les bienfaits sur l’anxiété, le CBD joue un rôle majeur dans l’équilibre de votre organisme. Il permet notamment de réguler la tension artérielle, qui peut notamment être causée sur le long terme à cause de l’anxiété.
C’est une véritable molécule miracle, si l’on peut se permettre, car elle possède plus de bienfaits que d’effets secondaires, qui sont quasi-nuls. Il faudra cependant bien veiller à se nourrir correctement et pratiquer une activité physique régulière afin de maintenir un équilibre de vie sain et adéquat et de prévenir certaines maladies.
N’oubliez pas que le CBD n’est pas un médicament, même s’il est utilisé comme tel dans certains pays, il faut le considérer comme un complément alimentaire, à côté d’une alimentation équilibrée. Il faudra également demander conseil à votre médecin afin de définir le traitement à prendre, et si le CBD sera efficace pour votre pathologie.